Among The Living
Chroniques Albums

BETWEEN THE BURIED AND ME – Coma Eliptic

between the buried and me - coma eclipticBETWEEN THE BURIED AND ME

 Coma Eliptic

Metal Blade record

Sortie le 10 juillet 2015

 


Trois longues années après la sortie du double album The Paraliax I and II, la nouvelle galette des américain de BETWEEN THE BURIED AND ME, qui promettait d’être une tuerie, vient confirmer la tendance qu’effectivement le combo de Caroline du Nord en a encore en boutique !

Riche, varié, jouissif, extrêmement complexe, avec des ambiances vintages qui n’ont rien à envier à HAKEN ou des formations anciennes à la Gentle Giant, entremêlées de passages au chant scream bien crade (comme sur le second morceau The Coma Machine  qui annonce clairement la tendance), le tout servi parfois par des tournes de guitares plutôt ambitieuses ( comme sur le début et la fin de  Famine Wolf  et de Node ) et du synthé maitrisé de main de maitre par le chanteur Tommy Rogers , on peut dire que cet opus est une franche réussite.

Tel un seul morceau d’une cinquantaine de minutes, les titres s’enchainent avec une intelligence rare pour nous faire voyager dans un univers propre à BETWEEN THE BURIED AND ME , passant allégrement et avec une facilité déconcertante des passages les plus vintages bordées de piano aux sonorités les plus métalliques pour notre plus grande curiosité auditive ( d’ailleurs, on pourrait faire tourner l’album en boucle car le dernier titre Life In Velvet s’enchaine tout à fait avec Node) .

Blake Richardson fait un travail remarquable derrières ses (nombreux) futs afin de donner un rythme bien particulier à certaines compos (comme le début de Dim ignition par exemple) . A titre d’exemple, on pourrait comparer Coma Ecliptic à The Paraliax I and II sur les plans de la maturité et de la complexité, sans nul doute le résultat des nombreux changements de line up que cette formation a connu lors de ses 5 premières années de vie avant de se solidifier et de trouver sa patte définitive, tout en se réservant le luxe d’évoluer sans cesse.

Sans contestation l’un de leurs meilleurs opus.


Related posts

VOLKER – Dead Doll

Stephan Birlouez

IHSAHN – Pharos

New Wire

FREEHOWLING – A Frightful Piece Of Hate (EP)

Stephan Birlouez

Lacher un commentaire

* Utiliser ce formulaire implique que vous êtes d'accord pour que nous stockions les informations que vous nous confiez.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.