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THE WIGGAR OVERDOSE – New York Sous Bois Rapcore Club

THE WIGGAR OVERDOSE - New York Sous Bois Rapcore Club
THE WIGGAR OVERDOSENew York Sous Bois Rapcore Club

Sortie Mars 2018

Tom : Guitars & Noises

Stewj : Vocals & Roars

Jech : Drums & Beatz


Difficile de rester insensible au délire des énergumènes de THE WIGGAR OVERDOSE et à leur rapcore à la fois hilarant et remarquablement bien foutu.
Premier opus des parisiens, New York Sous Bois Rapcore Club (tout est dans le titre) n’a rien à envier à leurs glorieux ainés d’outre atlantique, entre SUICIDAL TENDENCIES et LIMP BIZKIT, avec une touche bien frenchie à la Joey Star façon Stewj (chant).
Au-delà d’un son purement monstrueux, il y a du texte ! C’est franchement bien déjanté et à  prendre au second degré bien entendu.
Ouvrant sur un NYSB Stamped précédé d’une ouverture à la flute (eh oui, surement une réminiscence d’un traumatisme scolaire), le ton est donné avec ce titre violent de Métal rappé proche d’un Limp Bizkit d’une époque hélas révolue. Chanté en anglais, on apprécie la maitrise du style et la qualité du jeu.
Même traitement avec Captain Caste, beaucoup plus métal, qui brosse surement l’expérience du groupe au studio Ste Marthe  pendant l’enregistrement de cet opus sous la houlette du prestigieux Francis CASTE.


THE WIGGAR OVERDOSE - New York Sous Bois Rapcore Club


17 titres composent le méfait, ponctuant parfois de courts intermèdes toujours un peu décalés à l’image de Quand Ch’rai Celeb’ en mode radio années folles avant d’envoyer le monstrueux Steven, hardcore instrumental de 46 secondes.
Big Fat Uppercut est un titre qui résume assez bien l’esprit de THE WIGGAR OVERDOSE, puissant et bien gras, tant dans le texte qu’au niveau sonore.
Un bref aperçu des titres vous donnera une idée du projet, entre 4’22 With Faye Reagan et Bambi (Son Of A Biche) en passant par Le Game de la Merguez, l’aspect poétique du propos n’a pas été laissé de côté.
Au final on se cogne 50 minutes de pur metalcore/Rapcore de qualité, balancé par une bande de gus irrévérencieux et au combien sympathiques. Perso j’ai bien aimé cette galette, surement plus que Giédré coincée entre les pistes 7 et 9.


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