VAMPIRE – Rex
Sortie le 19 juin 2020 via Century Media
Hand of doom : chant
Command : basse
Black string : guitare
Sepulchral condor : guitare
Abysmal condor : batterie
Et bien Vampire vous savez tenir une cadence rythmée tel un métronome. Avec un nouveau longue durée qui paraît tous les trois ans on peut le confirmer. Les suédois ont sorti leur troisième album intitulé “Rex” le 19 juin chez Century Media. Il succède à “With primeval force” sorti trois ans auparavant.
Quant à leur tout premier album éponyme il fut pressé en 2014. Sarcofago, Sodom et le black metal suédois sont les principales influences qui peuvent venir à l’esprit lorsqu’on découvre le groupe. Mais quand on fouille un peu on peut se dire qu’il s’agit d’un death metal mâtiné de thrash dans les grandes lignes. La date de création remonte à 2011 et leur ville d’origine est Göteborg.
Quant à leur tout premier album éponyme il fut pressé en 2014. Sarcofago, Sodom et le black metal suédois sont les principales influences qui peuvent venir à l’esprit lorsqu’on découvre le groupe. Mais quand on fouille un peu on peut se dire qu’il s’agit d’un death metal mâtiné de thrash dans les grandes lignes. La date de création remonte à 2011 et leur ville d’origine est Göteborg.
L’opus a été enregistré aux Nacksving studios à Stockholm. Ce lieu est connu car il est à noter que l’un des membres de Dark Tranquillity possède un des studios pour l’anecdote.
Après une intro “Prelusion” assez concise et bien heavy dans l’âme on attaque dans le vif du sujet avec le titre de l’album qui a fait l’objet d’une très belle vidéo où la nature est ultra présente pour notre plus grand plaisir. On peut dire que l’intro et la piste deux pourrait former un seul morceau. “Anima” débute sur un riff typiquement thrash suivi de vocaux caverneux à souhait avec une mélodie subtilement amené.
Le tempo y est à tendance un peu lente. C’est le morceau le plus long de l’opus doté de ses six minutes. Il possède cette coloration épique bien plaisante. Moloch est un titre bien représentatif du répertoire de Vampire : un tempo assez rapide, des riffs de guitare qui pourraient dignement figurer sur des grands noms du thrash mais avec ce son propre au death metal et cette ambiance du metal noir.
On songe évidemment à Iron Maiden, Metallica ou même Testament. On ressent donc une aspiration profonde aux années 80. Il existe par ailleurs une vraie diversité au niveau des compositions. La créativité est au centre de cet album. Les soli sont fabuleux ce qui est un vrai plus pour ce genre de metal. Une grande influence s’invite au niveau de la scène black suédoise, Dissection en est le parfait exemple.
Pour Wiru-Akka il s’agirait d’une dieu issu de la civilisation Sami et il fait partie des grands moments : doté d’un tempo rapide et de vocaux bien calés sur les riffs de Sepulchral Condor et Black String. Melek-Taus représente un dieu des Yazidis. Ces derniers sont de très grands combattants. Quelques guitares acoustiques viennent s’y intégrer de la plus belle manière en fin de chanson.
On constate naturellement l’importance de la thématique de la religion ici précisément et dans le reste de l’album. Serafim signifie ange et possède ce riff qui tourne du plus bel effet et ce sens de la mélodie très présent vient aérer les rythmiques massives au possible.
Après une intro “Prelusion” assez concise et bien heavy dans l’âme on attaque dans le vif du sujet avec le titre de l’album qui a fait l’objet d’une très belle vidéo où la nature est ultra présente pour notre plus grand plaisir. On peut dire que l’intro et la piste deux pourrait former un seul morceau. “Anima” débute sur un riff typiquement thrash suivi de vocaux caverneux à souhait avec une mélodie subtilement amené.
Le tempo y est à tendance un peu lente. C’est le morceau le plus long de l’opus doté de ses six minutes. Il possède cette coloration épique bien plaisante. Moloch est un titre bien représentatif du répertoire de Vampire : un tempo assez rapide, des riffs de guitare qui pourraient dignement figurer sur des grands noms du thrash mais avec ce son propre au death metal et cette ambiance du metal noir.
On songe évidemment à Iron Maiden, Metallica ou même Testament. On ressent donc une aspiration profonde aux années 80. Il existe par ailleurs une vraie diversité au niveau des compositions. La créativité est au centre de cet album. Les soli sont fabuleux ce qui est un vrai plus pour ce genre de metal. Une grande influence s’invite au niveau de la scène black suédoise, Dissection en est le parfait exemple.
Pour Wiru-Akka il s’agirait d’une dieu issu de la civilisation Sami et il fait partie des grands moments : doté d’un tempo rapide et de vocaux bien calés sur les riffs de Sepulchral Condor et Black String. Melek-Taus représente un dieu des Yazidis. Ces derniers sont de très grands combattants. Quelques guitares acoustiques viennent s’y intégrer de la plus belle manière en fin de chanson.
On constate naturellement l’importance de la thématique de la religion ici précisément et dans le reste de l’album. Serafim signifie ange et possède ce riff qui tourne du plus bel effet et ce sens de la mélodie très présent vient aérer les rythmiques massives au possible.
En définitive “Rex” s’avère très intéressant du début jusqu’à la fin de par la richesse des idées compilées dans chaque titre. Il s’adresse tout particulièrement à des fans d’une certaine époque tout particulièrement ceux qui jurent par les années 80 et 90. Avec une durée de trente neuf minutes au compteur cette nouvelle galette de Vampire devrait donc trouver naturellement preneur.