Fratura lance un disque de métal sale et lourd, avec un son black-beat et des influences anarchistes
Project vient de sortir par le label Electric Funeral Records
Fratura est un «one man band» originaire de São Paulo, capitale, créé fin 2019. Un groupe formé d’un seul membre, son créateur, Corposeco, qui a également défini et attribué au son du projet, le terme Black-Beat . Fratura vient de sortir son nouvel album intitulé Corposeco, sur toutes les plateformes de streaming via Electric Funeral Records.
L’inspiration du projet vient principalement des groupes solo scandinaves de son extrême et aussi, pour la raison fondamentale, de la difficile mission de former un groupe avec plus de membres dans le scénario sombre et pandémique dans lequel nous nous trouvons. Dans la sonorité, il est facile de percevoir les traces des influences musicales de l’auteur, telles que le black metal, le crust punk, le d-beat, le doom et la powerviolence.
De la même manière, vous pouvez voir une qualité technique simple et directe, donnant le sentiment que n’importe qui peut faire un son seul, comme il le souhaite, dire ce qu’il veut, sale et déformé, sans moule, partie du concept libre d’influences punk anarchistes. Fratura compose ses propres chansons, enregistre et publie numériquement et indépendamment, la démo intitulée Necroambulist déjà début 2020. Tout le matériel, de la composition au mixage des enregistrements, est interprété par le musicien chez lui, dans le style «Faites-le vous-même», ayant également enregistré tous les instruments individuellement.
Le thème des lettres passe par des sujets tels que la crise humaine et ses désirs les plus sombres, toute la mythologie du satanisme et la nécessité de se libérer des dogmes pour notre propre connaissance de soi et évolution. De cette orgie de philosophies et de sonorité est né le Black-Beat, la Fracture est née. Ou comme l’auteur lui-même, Corposeco, définit le style du groupe: «Black-Beat est le reste pourri d’une fausse couche qui rampe et s’épuise, se cachant sur les fondations de la maison, devenant un être maudit, car c’est le matérialisation du mal humain ».
Fratura vient de sortir son premier album complet, avec le titre du même nom à l’auteur, Corposeco, qui est d’ailleurs le nom de l’un des personnages du folklore brésilien, dont le sort après la mort devait être rejeté par le ciel et l’enfer. Aucun nom ne pourrait être meilleur. Le disque contient quelques chansons présentées dans la démo «Necroambulist» et de nouvelles compositions.
Check-out « Corposeco »: https://bit.ly/3290rhD