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DREAMCATCHER – Blood On The Snow

DREAMCATCHER - Blood On The SnowDREAMCATCHERBlood On The Snow

Sortie le 13 octobre 2017

Vincent Liard : Basse
Nicolas Costes : Drums
Djo De Keiser : Guitare
Chris Garrel : Chant
Geoff Lacarriere : Guitare


Fans de la New Wave of British Heavy Métal, et d’un certain esprit que l’on peut facilement qualifier d’Old School, cet album de DREAMCATCHER vous parlera. Mais attention, il est bien entendu accessible aux autres.
Blood On The Snow signe le retour de DREAMCATCHER avec un troisième opus très bien produit, aux accents heavy thrash et à l’ambiance bien à eux.
Ouvrant sur le puissant, et titre éponyme de l’opus, Blood On The Snow, on retrouve toute l’essence de DREAMCATCHER et de ses influences bien assimilées. Le titre marie à la fois un thrash bien speed et un heavy massif, à une partie résolument aérienne.
Bien que résolument ancré dans les 80’s, l’album distille malgré cela une modernité indéniable qui provient de la fusion des différents genres dont les gus sont friands.
Une ligne directrice transparait au fil des titres, celle du sang. Les thèmes abordés ici sont aussi variés que l’univers des films d’épouvante, ou l’histoire des amérindiens, en passant par une certaine forme d’écologie.



DREAMCATCHER - Blood On The Snow


Le chant de Chris Garrel est très marqué par son influence principale, il ne le nie d’ailleurs pas, à savoir celui de Dickinson d’IRON MAIDEN. Influence majeure du bonhomme, sur Blood On The Snow, DREAMCATCHER a su malgré tout se départir de celle-ci.
Musicalement les compositions dépotent pour la majorité d’entre elles. A l’image d’un Dark Is My Soul ou encore un Curse Of The Vampires qui bottent le cul.

Au final un album qui se laisse écouter et qui devrait ravir les fans d’un genre intemporel.

Je laisse le mot de la fin à Chris : « Le côté « Old School » est assumé, on ne va pas faire de la « modernité » pour le  plaisir d’en faire. Quelque part on s’en fout, c’est un peu ça DREAMCATCHER. On fait ce qu’il nous plait sans tenir compte des modes ».
Tout est dit.


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