KORN – The Serenity of Suffering
Sortie le 21 octobre 2016
Jonathan Davis – chanteur
James « Munky » Shaffer – guitariste
Brian « Head » Welch – guitariste
Reginald « Fieldy » Arvizu – bass
Ray Luzier – batterie
Avec The Serenity of Suffering, KORN viendra compléter votre bibliothèque de leur 12ème opus. Et dès que la galette est insérée on retrouve tout de suite le KORN d’antant! Ce KORN qui a bercé tellement de petits et grands enfants depuis plus de 20 ans.
On commence déjà par l’atwork, on retrouve déjà les premières jaquettes, la petite blondinette de l’album éponyme, la poupée d’Issues.
Dès les premiers sons, l’ambiance, le rythme, le style, aucun doute nous avons un retour au racine de Korn. Un titre vous fera sans doute écarquiller les yeux: A Different World, le featuring étant Corey Taylor. Non, vous ne vous trompez pas, les 2 stars du nü se retrouvent sur un seul et même titre. Là encore, chaque chant est reconnaissable, la pate de Jonathan et de Corey restent intacte.

Munky et Head, eux sont fidèles à eux même. Ils nous envoient du gros riff très bien ficelé, sale et précis.
Cet album serait sortie du milieu des années 90, que cela ne m’aurais pas choqué. On y retrouve tout du début de KORN. Les guitares saturés au son authentique, la basse très puissante de Fiedy. Jonathan nous fascine encore par son chant, du clai à la puissance, toujours très juste et tellement vivante. La line up n’a que très peu bougé et cela se ressent.
Si je devais conclure sur le rythme général de l’album, je vous dirai que KORN existe toujours, et c’est avec force qu’ils nous le prouvent avec cet opus. Bien sur, ils ne révolutionnent pas le genre comme ils l’ont fait à leurs débuts. Mais ils nous prouvent que dans cette même veine, ils peuvent encore nous ressortir du gros et majestueux KORN.
Je le rangerai avec les premiers albums, et dans la liste des meilleurs albums de 2016.
Si je devais conclure sur le rythme général de l’album, je vous dirai que KORN existe toujours, et c’est avec force qu’ils nous le prouvent avec cet opus. Bien sur, ils ne révolutionnent pas le genre comme ils l’ont fait à leurs débuts. Mais ils nous prouvent que dans cette même veine, ils peuvent encore nous ressortir du gros et majestueux KORN.
Je le rangerai avec les premiers albums, et dans la liste des meilleurs albums de 2016.
Tracklist :
Insane
Rotting In Vain
Black Is The Soul
The Hating
A Different World (feat Corey Taylor)
Take Me
Everything Falls Apart
Die Yet Another Night
When You’re Not There
Next In The Line
Please Come For Me
Baby
Calling Me Too soon