Une dizaine de titres pour une balade dans les méandres de l’amour, du coup de foudre (« Giulia ») à l’absence (« Une ombre ») , de la routine conjurée avec drôlerie au portrait du blaireau (« Il paraît »). S’il avait déjà glissé sa plume sous les draps des amoureux, Daguerre l’a aiguisée encore plus joliment en déclinant le thème. Le décor une fois planté (« Les mots »),
Daguerre et Bertille chantent et jouent une pièce en dix actes, une histoire en dix épisodes.
En duo ou en solo, les deux voix se marient à merveille dans une pop délicieusement bricolée, dialoguent ou s’échappent ensemble.
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